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Ce récit est la suite de : Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 1 sur 3
il y a 1 an
Le début de cette histoire est ici
CHAPITRE QUATRE
La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France.
Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron.
Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux coquins, d’autres pratiques.
Après l’avoir mise en couche avec une culotte en plastique une grenouillère, puis mise devant la télévision, il s’isole pour prendre sa douche porte fermée. La raison de ce besoin d’intimité provient de ce membre masculin pointant son nez entre les jambes. L’idée de lui donner un biberon au jus d’homme le titille, il interrompt l’agitation de sa main droite pour réfléchir à une stratégie. A son retour de la douche, vêtu simplement d’un peignoir de bain, il prend place dans le canapé et prend Lucie dans ses bras pour l’asseoir entre ses jambes. Appuyée contre son buste, sous ses caresses, la petite et si heureuse qu’elle ronronnerait presque comme un gros chat.
Les caresses d’amour deviennent de plus en plus ciblées, les doigts de Jean titillent les petits tétons de Lucie, à travers son body avec comme but de l’exciter. C’est lorsque les petites « tétines » émergent comme de gros tétons, qu’il se lance dans une explication « pédagogique » orientée.
-
Tu as bien aimé quand je t’ai fait des bisous sur ton petit minou du bas. Et bien tu sais, quand une princesse aime son prince charmant, elle fait la même chose avec sa zézette. Est-ce que tu m’aimes ?
-
Oh oui Daddy, je t’aime très fort et même grand comme ça ! Lui répond Lucie en faisant voir quelque chose de grand avec ses mains très écartées.
-
Alors c’est à ton tour de me faire plaisir et de faire des bisous à ma zézette ! Lui répond Jean en la faisant s’agenouiller entre ses jambes devant le canapé.
Intimidée, Lucie attend sans trop savoir que faire ni comment s’y prendre.
-
Faut que je fasse quoi exactement pour te faire plaisir Daddy ?
-
Doucement et avec amour, tu glisses tes mains sous mon peignoir. Quand tu auras trouvé mon zizi, celui qui te donne tant de plaisir quand il vient dans ta caverne d’amour, tu le découvre et le caresses. Ensuite, tu lui fait de petits bisous pour le faire grossir puis tu le suces au départ comme une glace. Après tu le prends dans ta bouche pour jouer avec en faisant des mouvement de ta tête en faisant tourner ta langue autour !
Un peu dépitée par l’explication mais, mue par la curiosité d’une fille excitée, Lucie se lance dans la découverte. Les jambes bien écartées de Jean lui facilitent la tâche si bien qu’elle découvre la chose dans son entier. N’ayant jamais vu réellement aussi près de sexe masculin autre que celui des bébés qu’elle gardait et changeait, Lucie se lance dans l’étude approfondie de la verge prenant de l’ampleur sous ses mains.
- Tu peux jouer avec cette poupée autant que tu veux ma princesse, elle adore qu’on s’occupe d’elle. Elle aime aussi qu’on lui fasse des caresses et des bisous !
Pas complètement nunuche, Lucie sait ce que son prince désire d’elle, mais en avoir connaissance de l’existence de la chose et la pratiquer il y a tout un monde. Après l’avoir tordue dans tous les sens, elle se décide à y faire quelques bisous puis d’y goûter. N’ayant pas de goût particulier, la chose dure et douce qu’elle a sous ses doigts commence à frétiller sous les caresses de sa langue tournoyante comme demandée. Il faut dire que pour Jean, voir sa petite tête blonde s’agiter entre ses jambes, est presque tout aussi agréables que les sensations engendrées.
C’est en constatant que Lucie semble prendre plaisir à lui donner de l’amour avec sa bouche, qu’il décide de lui expliquer que maintenant elle va devoir le téter comme si c’était un biberon. Il lui précise qu’il va la guider avec ses mains et que quand son zizi lui donnera du bon lait d’homme, elle devra le boire avec amour. Il rajoute que si elle arrive à avoir beaucoup de lait, c’est qu’elle aura bien travaillé et lui aura donné beaucoup de plaisir.
Concentrée sur sa mission et avec comme but de tout faire pour la réussir, Lucie s’acharne de la bouche comme si sa vie en dépendait. Les deux grosses mains de travailleur s’enroulent autour de la petite tête blonde, avec les gros doigts appuyant sur sa nuque pour la guider dans ses mouvements. A ce petit « jeu » ce qui devait arriver, arriva sous la forme de jets puissants sans crier « garde » dans la petite bouche étonnée. Lucie se concentre donc pour « bien boire » le lait de ce biberon particulier. Le goût de ce lait particulier ne la dégoûte pas, elle est même ravie d’avoir réussi sa mission.
- Ne bouge surtout pas, tu auras le droit de bouger que quand le zizi sera devenu tout petit ! Lui indique Jean sans lâcher la petite tête. Tu as été merveilleuse mon amour, tu auras le droit de le refaire souvent.
Comme indiqué, « la chose » reprend sa taille initiale sous les caresses et compliments de Jean lui disant qu’elle a été une petite reine. Autant dire que Lucie est aux anges des caresses et compliments. Finalement, elle a bien aimé jouer avec ce qui lui donné tant de plaisir quand il lui a fait l’amour. Elle se dit que Jean a raison, il y a plein de façons de faire l’amour et qu’elle a encore beaucoup de choses à apprendre.
- Allez on va se coucher ma puce mais si tu veux, on joue un peu avec le Magic Wand Massager qui t’a fait crier hier soir ! Lui propose Jean qui est tout sauf égoïste.
Assez excitée par ce qu’elle vient de vivre et un impérieux souvenir de l’expérience de la veille, Lucie fait « oui » de la tête. Les bracelets étant toujours accrochés aux angles du lit, elle se met seule bras et jambes en croix pour qu’il l’attache. Comme la nuit précédente, Jean dégrafe le body puis titille les tétons de sa princesse pendant qu’il cherche à la faire jouir avec le sextoy. Cette fois, Lucie ne fuie pas la boule magique, au contraire, elle s’y frotte sans pudeur. Lorsque la jouissance pointe son nez, elle se cabre contre le sextoy en se mordant les lèvres pour ne pas crier. La voir convulser de plaisir excite énormément Jean.
Il lui détache les jambes, retire la culotte en plastique, ouvre la couche pour la prendre sans tarder. La pénétration se fait sans douleur ni résistance, la grotte des plaisirs est grandement lubrifiée. Etre prise ainsi entravée et après avoir joui une première fois plait beaucoup à Lucie. Une douce mélopée ne tarde pas à pointer son nez dans la poitrine du Daddy très motivé. La petite enchaîne les jouissances en se débattant tant elles sont puissantes. Encore une fois, Jean ne la voulant pas grosse, se retire pour jouir à son tour en visant le chaton poilu. Après quelques bisous et tendres caresses il referme la couche, lui remet sa culotte en plastique et ferme le body de sa Little épuisée d’amour. Un rayon de la lune filtre à travers une fente des volets, on peut y voir nos tourtereaux s’enlacer pour un gros dodo.
La surprise du matin
Vers six heures, réveillée après son pipi couche, Lucie est toute excitée. Avoir des envies coquines, est une sensation nouvelle pour elle. C’est avec une extrême lenteur pour ne pas réveiller Jean, qu’elle fait glisser ses doigts dans sa couche pour aller se toucher là où c’est bien bon. Ces petites caresses intimes n’arrangent pas les choses, au contraire, elles décuplent ses envies. En même temps, elle se met à jouer un peu avec ses tétons comme le fait son prince charmant pour l’accompagner dans son plaisir.
Dans sa tête, elle revit sa fellation, le biberon des grandes filles buvant le lait de leur prince. Elle garde en mémoire que Jean lui a dit qu’elle pourrait le faire souvent. Un quart d’heure plus tard, en regardant le réveil, elle constate qu’il ne va pas tarder à sonner. Lucie se dit que Jean ne lui en voudra sûrement pas, si elle le réveille en lui faisant plaisir. Peut-être qu’après, il lui fera comme hier, un gros dada à la papa maman. Lentement, elle glisse sous la couette pour se lancer à la recherche du Priape endormie. Avec beaucoup de douceur, elle tire le caleçon pour le libérer de sa prison de tissu et le prendre dans sa bouche. Le gisant ne tarde pas à se réveiller et prendre de l’ampleur. Ravie du résultat, elle poursuit ses câlins en caressant les précieuses en même temps que sa bouche devient gloutonne.
- Oh ma chérie, que c’est gentil de t’occuper de moi comme ça pour me réveiller ! Lui indique Jean en caressant sa petite tête sous la couette.
Au comble de l’excitation, Lucie poursuit son initiative en se mettant à genoux au dessus des jambes de son prince au Priape dur comme du fer. N’y tenant plus, elle dégrafe le body, écarte sa couche pour venir se placer au dessus du zizi désiré. Elle joue un instant avec le gland entre ses lèvres intimes avant de le glisser dans son temple de l’amour. Jean n’en revient pas, à peine dépucelée, la petite pourrait bien être une gourmande, le rêve pour un homme coquin comme lui. Prenant plaisir à s’empaler, Lucie accélère ses mouvements de hanche, son prince attrape ses tétons pour les malaxer doucement. Au bout d’un petit moment, « Plus fort s’il te plait » lui demande la belle, dans la grande ligne droite conduisant à la libération salutaire.
Le gentil dada se transforme alors en chevauchée fantastique, jusqu’à la conclusion heureuse de Lucie expulsée manu militari par Jean ne souhaitant pas venir en elle et prendre le risque de la mettre enceinte. C’est à ce moment là que, venue gâcher la fête, le réveil se prend une gifle virile. Couchée sur son Daddy très câlin, la belle est aux anges, il ne l’a pas grondée et à même pris son plaisir.
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Ma puce, il faut vraiment que l’on aille voir le médecin pour te faire prescrire une pilule. Comme ça, nous pourrons fusionner jusqu’au bout tous les deux, quand on fait l’amour.
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Oh oui Daddy, mais je n’ai pas encore touché mon salaire, la famille d’accueil ne m’a rien laissé du dernier que j’ai eu quand j’étais stagiaire !
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Ne t’inquiète pas mon amour, je te l’offre tout comme les jolies jupes et robes que nous irons t’acheter ce soir. J’ai trop envie de te voir encore plus belle que tu ne l’es déjà.
Effectivement, le soir même après la journée de travail, ils font la tournée des grands magasins où il fait tellement de folies que la petite en a les yeux mouillés. Jamais elle n’aurait cru pouvoir porter d’aussi belles robes, jupes et chemisiers. Jean lui prend également des bas auto-fixants, de jolie dessous puis des tenues d’a d o l e s c e n t e s pour leurs petits jeux coquins. La taille de Lucie le leur permet sans problème.
Le plus amusant est le passage au rayon des chaussures. Tenant à ce qu’elle soit aussi une belle femme, Jean tient à lui acheter plusieurs paires de chaussures dont certaines à talon. Marcher sur des « échasses » est très compliqué pour Lucie n’ayant jamais portées des talons hauts. C’est donc les bras chargés qu’ils rentrent à la maison où il tient à déboucher une bouteille de champagne pour l’apéritif et à avoir son défilé de mode.
Comme dans un défilé de stars, toujours aussi émue, Lucie se prête volontiers au jeu. Elle doit faire un tour de salon avec chaque tenue pour avoir le droit de venir trinquer avec lui. C’est lors d’un passage avec une jupette courte, qu’elle se fait happer et coucher sur ses genoux par les bras virils.
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Tu as été vilaine ce matin, tu as osé me réveiller ! Déclare Jean bien décidé à lui donner une petite fessée.
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Mais non, tu m’as dit que je pouvais te faire plaisir ! Pourquoi tu veux me battre ? Demande Lucie soudain très inquiète.
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Mais non, c’est un jeu de grands ma chérie, je n’ai aucune envie de te battre. C’est juste un prétexte pour que je donne une fessée à ma little d’Amour.
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Mais ça fait mal la fessée !
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Pas les miennes, elle donnent du plaisir. Arrête d’avoir peur et laisse-toi faire, je suis sûr que tu vas adorer !
Si les mains de Jean peuvent être des battoirs aussi puissants que les paddles Saku vendus par ABCplaisir.com, son idée n’est pas de punir le rayon de soleil de sa vie, bien au contraire. Sur les fesses de Lucie encore protégées par la jupette et la culotte, les premières claques données ne sont pas douloureuses, bien loin de là. L’alternance de claques et de caresses ne sont effectivement pas désagréables comme le constate Lucie. Lorsqu’il relève sa jupette et lui baisse la culotte, la série de fessée suivante pique un peu l’épiderme de jeune joufflu encore blanc. Après quelques claques, la peau commence à rosir. Consolée par des caresses, la peau semble soudain plus réactive, plus sensibles aux attouchements.
Sentant que sa Little commence à apprécier, Jean poursuit cette fois en appuyant un peu plus sa fessée. Chaque fois que le joufflu s’agite, il s’arrête pour le consoler par des cajoleries. Le jeu dure un moment, les claques deviennent de plus en plus appuyées tout comme les caresses. Si bien que Jean voit les lèvres intimes de sa princesse se mettre à mouiller généreusement.
Couchée sur les genoux de son Daddy, Lucie ne comprend pas ce qu’il lui arrive. Les seuls souvenirs qu’elle a des fessées reçues, c’est que cela lui faisait très mal. Là elle est excitée et commence à trouver cela très bon. De son côté, Jean est bien décidé à tout faire pour la conduire au plaisir de cette façon. A présent, il alterne fessées, cajoleries sur les fesses et caresses intimes. Là, Lucie frise le feu « d’artifesses » !
- Ma chérie, je vais te punir plus fort par amour pour essayer de te faire jouir, ferme les yeux et laisse-toi aller !
Effectivement, l’intensité de la fessée augmente, sans toutefois, être bien méchante. Sauf qu’en guise de cajolerie, il griffe les fesses à présent bien rouges faisant ainsi bondir sa Little. Par surprise, il insère son pouce dans le minou détrempé, pour venir titiller le bouton magique de ses phalanges agiles. Quelques secondes plus tard, la belle convulse sur ses genoux. Rattrapée par son bras gauche musclé, la princesse ne peut échapper à son prédateur d’amour bien décidé à la faire jouir.
Lorsqu’il sent des contactions sur son doigt toujours figé en elle, Jean sait qu’il a gagné la « partie », sa belle est heureuse. Si une fessée traditionnelle ne se conclue pas de cette façon, pour cette initiation particulière, il tenait à la pousser au bout. « Elle est tellement sensible et gourmande, que j’arriverai à la faire jouir sans la toucher » pense Jean, en la prenant dans ses bras comme un bébé pendant qu’elle pleure de bonheur. Lovée contre lui, elle est toute heureuse bien que très perturbée par cette découverte : on peut jouir en étant fessée ! …………………..
Entre le travail, les câlins et dodos coquins, la semaine se termine sans aucune nouveauté ni souci. Le seul bémol est dû aux employés de l’entreprise qui suivent un meneur syndiqué. Jean vit cela assez mal, car bien que patron, sa bonté naturelle est mise à mal par des revendications syndicales.
-
Je ne suis pas responsable de l’inflation, du prix de l’électricité ou de l’essence, je ne comprends pas qu’ils n’en aient pas conscience. Nos clients sont eux aussi gravement affectés par la crise, je n’ai pas pu augmenter mes prix alors que les pièces et les charges augmentent. Pour ne pas les perdre, je fais crédit à certains pour ne pas qu’ils mettent la clé sous la porte. Mes salariés veulent être augmentés mais hélas, je ne peux pas. Ils me prennent pour la banque de France ou Macron.
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Pourquoi tu ne leur expliques pas ?
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J’ai essayé, j’ai même fait voir les bilans au Lucien qui se prend pour un représentant syndical. Sauf qu’il ne comprend pas que tirer sur l’entreprise n’est pas la solution. Je les ai pourtant toujours respectés, ils sont payés plus que la convention collective, je ne leur impose pas des horaires de folie puisque je compense toujours les dépassements d’heure quand il y a des dépannages qui durent. Et le week-end, c’est moi qui les assure ! Pour moi, nous étions une équipe, sauf que cela le fut avant que la France parte en couille. Cela se dégrade d’année en année avec l’Europe.
Le naturel positif de Jean reprend le dessus lorsqu’ils arrivent à la maison, leur havre de paix.
-
Ma puce, et si ce week-end, je faisais de toi un bébé ? Cela nous changerait les idées et te ferait une expérience ?
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Un bébé ? Je devrai faire quoi ?
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Rien, je m’occupe de tout de A à Z et tu te laisses faire comme le fait un vrai bébé !
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D’accord Daddy, en plus, comme je n’ai aucun souvenir de ça, cela sera une découverte pour moi. Je dois être un bébé sage ou un peu grognon ?
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Sage ce serait mieux, parce que je n’ai pas vraiment d’expérience. Par contre, il faut vraiment que je te fasse bébé en bas si tu vois ce que je veux dire !
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Non, je ne comprends pas Daddy !
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Un bébé n’a pas de poil entre les cuisses, il faut que je les rase que tu sois lisse comme au premiers jours !
-
C’est obligé ?
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Oui bébé, en plus, je préfère les femmes rasées ou épilées, c’est plus joli !
N’ayant pas de réfutation, Jean se lance dans la transformation de la maison. Il pousse un meuble bas dans un coin de la pièce pour y installer un petit matelas dessus afin d’en faire une table à langer. Il va chercher un tapis au grenier puis quatre planches pour faire un parc. Lucie amusée, le regarde faire en essayant de l’aider.
-
Tu restes là, il faut que j’aille faire des courses, cela commence dès que je reviens d’accord ?
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Oui Daddy !
-
Tu sais qu’à partir de mon retour, tu ne dois plus parler et vraiment faire le bébé !
-
Ouinnnn ! Répond Lucie de plus en plus amusée.
Pour Jean, cela sera sa première expérience de nursing. Il a lu des histoires de régression et d’âge play sur Abkingdom et Fessestivites puis visionné des photos et vidéos. En s’appuyant sur le virtuel, il se rend au supermarché pour acheter du talc, de la Floraline, des pots de bébé, un second biberon et une peluche. A son retour, Lucie a commencé à préparer le repas, elle ne pouvait pas le laisser tout faire, c’était plus fort qu’elle.
Attrapée à bras le corps, elle est déposée sur la table à langer et dévêtue. Armé d’un rasoir jetable et de sa mousse à raser, Jean entreprend de faire disparaître la pilosité de sa Little. Lucie crie que c’est froid, et pour cause, sa mousse à raser est mentholée. Même si son Daddy est ultra prudent, elle n’est quand même pas très rassurée au passage du rasoir glissant sur ta tendre intimité.
- Tu vas voir comme c’est plus joli bébé un sexe tout lisse, en plus ce sera plus doux sous les doigts et ma langue quand je te fais des bisous là !
Pendant qu’il plume le dindon, (pardon) qu’il joue à l’esthéticienne, Lucie suce son pouce. Elle rigole ensuite et s’agite lorsqu’il lui passe du lait réhydratant avec application. Entre les petites lèvres intimes, Jean voit apparaître de l’humidité, preuve que la petite aime bien. Il est vrai que Lucie est plutôt « gourmande » des choses de la vie et que, le passage des doigts de son Daddy à cet endroit là, n’est pas pour lui déplaire….
Hélas, Jean n’est pas motivé pour la sauter (pardon lui faire l’amour), il est dans une tout autre logique. Elle le regarde la talquer avec une attention particulière et l’envie de délirer. Si bien que lorsqu’il dépose le pot de talc sans le refermer à côté de sa main, elle l’attrape pour jouer avec. Un nuage de talc vient donner un coup de vieux à son Daddy se retrouvant avec des cheveux blancs.
CHAPITRE CINQ
Le grand bébé enfin langé et vêtue seulement de son body, Lucie est placée dans le parc de fabrication maison avec une peluche comme seul jouet. Se croyant tranquille pour préparer le repas du soir, Jean se prépare un menu quatre étoiles sous la forme d’une boite de sardine et d’un cassoulet. Pour la petite, lorsqu’il lance sa Floraline, une sorte de petite soupe, il entend un grand bruit et des cris de bébé. Il se précipite aussitôt au salon pour découvrir Lucie allongée par terre avec une chaise renversée sur le sol.
Mais comment est-elle sortie de son parc ? Se demande Jean en la prenant dans ses bras pour la consoler. C’est en voyant ses vêtements par terre, qu’il comprend qu’au sol, malgré le tapis elle avait froid. A défaut de pyjama AB, il se décide à lui mettre un pantalon et un petit pull. Si ce n’est pas très joli, au moins elle n’aura pas froid. En la remettant dans son parc, la résistance des jambes du bébé refusant d’y retourner, il comprend comment elle en est sortie.
- Ah tu veux jouer ta rebelle, tu vas voir, Daddy a plus d’un tour dans mon sac! Lui indique Jean amusé.
Quelques instants plus tard, il revient avec des gants en caoutchouc qu’il lui enfile pour faire des moufles. Par-dessus, il ajoute du scotch afin de bloquer les doigts. Lucie le regarde sans comprendre. Prestement allongée sur ses genoux, comme pour une fessée, elle sent qu’il lui plie la jambe puis qu’il en fait plusieurs tours de scotch. C’est lorsqu’il a terminé, qu’elle comprend qu’il lui sera impossible de la déplier. Après avoir fait de même avec la seconde jambe, il la soulève pour l’asseoir dans le parc.
C’est une odeur de brûlé qui lui rappelle que la Floraline est sur le gaz. Ne pouvant savourer les effets de son astuce pour bébé rebelle, il l’abandonne pour se précipiter à la cuisine en jurant comme un charretier. Lucie, quant à elle, abandonnée dans son parc, ne peut que constater qu’elle est comme infirme. Il ne lui est pas possible de se lever puisque ses jambes sont maintenues pliées par le scotch. Ses mains gantées avec les doigts enroulés de scotch sont un peu comme des moignons. La rebelle aimerait bien trouver le moyen de se libérer pour continuer de jouer le bébé insatiable mais en vain. Hormis attendre en s’ennuyant, elle ne peut rien faire.
Pour le repas, comprenant qu’elle compte bien faire le vrai bébé baveux et rebelle, après l’avoir assise sur le canapé, il lui passe une grande serviette de bain autour du cou pour en faire un grand bavoir. L’assiette de Floraline posée sur la table et les petits pots sera donc son repas. Lorsque Jean entreprend de lui donner de cuillères de Floraline, Lucie s’amuse à baver et, comme il ne s’énerve pas, à faire des « bree » la bouche pleine pour l’éclabousser comme si elle lui crachait dessus. Si elle n’était pas sa princesse d’amour, il lui mettrait bien une gifle. Contenant son agacement, il poursuit comme si de rien n’était en se promettant de lui jouer un autre tour quand le repas sera terminé. Devant l’insistance du bébé rebelle, il lui lave la figure en la léchant. Là, devant le côté désagréable de la chose, le grand bébé se met à crier.
- Tu n’as qu’à être sage et bien manger ta poupou !
Au ton de la voix, Lucie sent bien qu’elle va devoir se calmer. Le petit pot de dessert, n’a de nom que ce qu’il est écrit sur l’étiquette. C’est infâme ! Par chance, il est petit, se dit Lucie en repensant aux pauvres bébés auxquelles elle en a fait manger quand elle faisait la nounou. Pour le coucher de la petite, Jean anticipe les soucis. Après avoir retiré le scotch des jambes et le pantalon, il enroule totalement Lucie dans un drap. Hormis la tête, rien ne dépasse.
- Tu vois, Daddy t’a fabriqué une gigoteuse maison. C’est pour que tu n’ais pas froid mon amour !
Quasiment momifiée et couchée sur le lit, Lucie ne peut plus bouger. Pendant qu’il lui donne un biberon de lait froid, Jean lui raconte des histoires de tracteur ! Certes, il les adapte en disant qu’il est conduit par un lapin ayant décidé de se faire un champ de bonne luzerne. A la décharge de Jean, n’ayant pas eu d’e n f a n t, il n’est pas très au fait des jolies histoires que l’on peut raconter après avoir couché les petits. Le bibi terminé, il lui fait un gros bisou sur le front, la recouvre de la couette puis s’en va en éteignant la lumière. Lucie tente bien de jouer sa rebelle en couinant, mais en vain, Jean est aller se restaurer en regardant la télévision. Comme d’habitude, le programme hautement passionnant coupé de X et X publicités l’ennuie. Il se rend donc sur les forums de Fessestivites pour chercher de quoi se distraire.
Ne trouvant pas le sommeil, Lucie découvre de son côté les joies du bondage. Sa momification au drap, avec les bras plaqués le long du corps ne lui laisse quasiment aucune possibilité de bouger. C’est à la fois excitant et un peu ennuyeux dans la durée. Mouiller sa couche devient un loisir hautement passionnant. Par contre, ses mains toujours gantées et scotchées ne lui permettent pas de jouer avec le devant de sa couche. Passer la main à l’intérieur ne serait pas amusant, même si elle y parvenait.
Lorsque Jean vient se coucher une heure plus tard, Lucie rompt le silence qui lui est imposé depuis le début de la soirée en lui disant qu’elle aimerait bien faire l’amour et ne plus être un bébé. Son but est double, le plaisir, car depuis qu’elle a découvert les joies du sexe elle est devenue très gourmande, puis être libérée.
De son côté, avec les vidéos qu’il vient de voir sur Fessestivites, Jean est plutôt excité et l’idée de baisser la pression interne ne lui déplairait pas. Oui mais, c’est rompre le programme du week-end.
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J’ai une idée pour faire l’amour bébé, on va jouer à Dark Age Play.
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C’est quoi Daddy ?
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C’est quand un Daddy devient un ignoble personnage qui profite de son bébé ou de sa petite fille pour faire des choses de grands.
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Tu veux qu’on y joue ?
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Oh oui Daddy, j’ai très envie ! Lui répond Lucie toujours prête pour les choses de l’amour.
Jean bondit presque du lit pour la découvrir afin de lui faire faire un quart de tour. La tête de Lucie pend quasiment dans le vide, sa nuque est appuyée sur le bord de matelas. C’est en le voyant retirer son boxer et lui tendre sa verge déjà à demi bandée qu’elle comprend qu’elle va avoir droit à un biberon particulier. Sauf que Jean a envie de jouer gorge profonde. La tête coincée entre les cuisses de Jean et avec la nuque en appuie sur le matelas, en guise d’amour fusionnel, le grand bébé n’est plus qu’un « réceptacle ». Jean essaie bien de frotter le devant de la couche pendant qu’elle le suce, mais le résultat érotique n’est pas probant. Hormis lui l’exciter un peu, elle ne risque pas de parvenir au plaisir, la couche et le body puis le drap représentent trop de rempart avec cette main qu’elle aime tant.
Pour son plaisir, Lucie ne peut qu’apprécier les testicules de Jean caressant son visage pendant que sa verge s’enfonce de plus en plus profondément dans sa bouche. L’excitation de Jean augmentant, il va parfois un peu trop profondément et titille les amygdales provoquant des quittes de toux. C’est entre deux quintes de toux que Lucie boit son deuxième biberon de la soirée. Le seul avantage de celui-là est qui est chaud !
Prestement remise dans le bon sens du lit, Jean la couvre, lui fait un bisou sur le front et lui souhaite bonne nuit. Un peu déçue que cela s’arrête là, Lucie fait contre bonne baise (pardon fortune) bon cœur et décide d’essayer de dormir. Si trouver le sommeil momifié n’est pas bien difficile, dans la durée c’est une toute autre histoire. Outre le fait qu’elle a trop chaud, il lui est impossible de bouger les jambes et les bras cela perturbe grandement son sommeil. Empilant cauchemars sur cauchemars, elle finit par réveiller Jean qui la libère du drap. Elle peut enfin se lover dans ses bras pour faire un gros dodo.
Sa nuit ayant été difficile, pour une fois, elle ne se lève pas avant Jean pour lui préparer son café, une noble tradition ou presque un devoir pour elle désirant choyer son prince charmant. Le dit prince est beaucoup moins aimé lorsqu’il lui interdit, une heure plus tard d’aller aux toilettes faire sa grosse commission. En guise de compassion, il lui donne un biberon de café chaud en lui disant qu’un bébé ne va pas sur le pot de grands. Sachant qu’il ne cèdera pas, Lucie est horriblement gênée rien qu’à l’idée de devoir se faire dessus. Elle essaye de résister à la sensation désagréable générée par le missile tentant de quitter son pas de tir.
La voyant se tortiller, son Daddy s’amuse à la prendre dans les bras, à la faire marcher comme si elle faisait ses premiers pas puis, à lui demander de ramasser des choses tombées au sol. C’est en jouant à la baballe avec son nounours que l’accident se produit. La nature humaine reprend ses droits d’un seul coup et expulse la matière dans la couche déjà bien chargée d’urine. Lucie fait une horrible grimace et a presque les larmes aux yeux lors de cet abandon.
- Mais ce n’est rien bébé, ne t’inquiète pas, Daddy s’occupera de toi tout à l’heure ! Lui indique Jean très amusé avant d’aller se resservir un café.
Debout jambes écartées dans le salon, Lucie n’ose plus bouger alors que Jean sirote son café vautré dans le canapé.
- Je crois que j’ai trouvé un moyen de calmer le vilain bébé. Une couche pleine de popo, et il est sage ! Lui dit Jean très amusé par la gêne de Lucie.
Prenant son courage avec ses deux mains toujours gantées, Lucie se jette dans les bras de son Daddy avant de s’asseoir sur ses genoux. Son but est de l’incommoder par l’odeur et qu’il la libère pour aller se décrasser. (ou démm…. au choix) Tout faux ! Jean ayant l’habitude senteurs d’étable et des odeurs de fosse à purin n’est pas incommodé du tout. Pire encore, ayant compris l’idée de sa Little rebelle, il s’amuse à la faire sauter sur ses genoux en lui disant « à dada ». Sentant la marmelade grand cru prendre la place restante dans la couche, cette fois Lucie pleure à chaudes larmes.
- Ne pleure pas bébé, je vais te changer et te faire toute propre !
Si Jean n’est pas incommodé lors de cette toilette, ce n’est pas le cas de Lucie qui restitue son biberon de café.
- Oh, on dirait que bébé est malade, il faut que je m’occupe de ça ! Lui indique Jean avec un sourire pervers posé sur les lèvres.
Une fois propre, il la dépose sur le canapé pour aller chercher un thermomètre. Déjà bien perturbée, en le voyant arriver Lucie se décompose. Quelques secondes plus tard, couchée sur ses genoux fesses à l’air, elle est très gênée de le sentir tripoter son pertuis puis enfoncer le thermomètre dans ce qu’il appelle « la boite à caca », un humour qu’elle n’apprécie pas avec ce qu’elle vient de vivre. Si le mercure indique 37,5 degrés, très joueur, Jean déclare qu’elle couve quelque chose et qu’il doit pousser ses investigations plus loin. Il dépose Lucie décomposée dans le canapé pour aller chercher de la vaseline.
- Allez ma puce d’amour, il faut que je continue de prendre soin de toi ! Déclare Jean en la couchant à nouveau sur ses genoux.
Le doigt inquisiteur du Daddy pervers tartine « le petit » de lubrifiant avant de jouer à « je rentre, je ne rentre pas » pour détourner l’attention de sa propriétaire ne goûtant pas ce jeu. Lorsqu’il sent que l’étroit conduit se détendre et devenirt plus accueillant, Jean le pouce cette fois sans relâcher la pression. Lucie pousse un cri de gêne plus que de douleur.
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Arrête de faire ton cinéma, cela ne fait pas mal et ce n’est qu’un doigt, qu’est-ce que cela sera quand tu m’offriras ton deuxième pucelage ! On dirait que tu es encore encombrée, je vais devoir te mettre un suppo !
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Daddy, je ne veux plus jouer à bébé, c’est trop gênant ! Le supplie Lucie.
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Mon amour, quand on est en couple, on fait l’amour, on se fait des bisous partout. Si on peut se faire des bisous, on peut aussi se toucher non ?
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Ce n’est pas pareil !
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Oh, dois-je comprendre que tu veux une fessée ?
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Je préfère la fessée à ce jeu ! Lui répond Lucie ayant en mémoire le plaisir éprouvé lors de son « initiation fessée ».
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D’accord mais il faut que j’aille chercher quelque chose ! Lui répond Jean.
Fort rusé, son Daddy se lève pour aller discrètement chercher deux suppositoires à la glycérine. A son retour, il les dépose discrètement derrière sa tasse de café posée sur la table basse avant d’attraper sa « volontaire » pour une fessée. Lors des premières claques, Lucie sent bien qu’il est très motivé ! Ses fesses s’enflamment rapidement sous la main puissante bien décidée à déconcentrer la rebelle. C’est lors d’une caresse sur l’épiderme rouge qu’il profite de la décontraction pour insérer le premier suppositoire. Surprise, Lucie crie mais il est trop tard. Jean lui redonne une deuxième série de claques sur les fesses pour avoir oser crier alors qu’il la soigne.
Le deuxième suppositoire à la glycérine fait moins d’effet, peut-être est-ce du à l’excitation générée par la fessée donnée sur des fesses déjà bien chaudes et en manque de câlin. Alternant claque sur le joufflu et caresses, son Daddy cherche à l’exciter pour lui faire découvrir le plaisir anal. Lorsqu’il aperçoit que les petites lèvres intimes se mouillent, il insère son pouce dans le chaton accueillant puis caresses le petit bouton magique. Lucie ne couine plus, bien au contraire, elle ronronne de plaisir tel un chat comblé. Comblée elle l’est soudain quand il insère son doigt dans l’étroit conduit voisin de la caverne des plaisirs.
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Daddyyyyy…..
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Arrête ton cinéma cela ne fait pas mal, au contraire dans un moment tu vas adorer ! Concentre-toi et imagine que je te fais l’amour par derrière, tu vas voir que c’est bien bon !
Si au départ, la rose se refuse à s’épanouir, l’acharnement de Jean sur le bouton magique et de son pouce dans chaton devenant baveux, la fleur finit par se décontracter. La vaseline et la glycérine facilitent cette visite de l’étroit conduit également chahuté par le pouce voisin, les deux orifices étant fort proches. Cette fouille intime finit par devenir très agréable, si bien que la pudeur de Lucie s’envole. A présent, elle ne râle plus et tend les fesses à l’inquisiteur devenant bon.
Toujours gantées, les mains de Lucie ne peuvent pas griffer le canapé innocent, mais elle le mord de plaisir, en sentant monter en elle une vague de chaleur annonciatrice d’une jouissance imminente. Ne relâchant pas son étreinte ni ses mouvements coquins, Jean la conduit irrémédiablement à l’orgasme. Si celui-ci est terriblement bon, Lucie est perturbée de sentir que son anus se contracte fortement sur la phalange toujours logée dans sa rose. Décidé à « l’achever », son Daddy continue de jouer les inquisiteurs malgré les cris de la rebelle enchaînant jouissances sur jouissances. Lorsqu’il retire doucement ses doigts pour la laisser souffler, Lucie n’est plus qu’un pantin de chair vautré sur ses genoux.
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Méchant Daddy, tu m’as tuée !
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Oui, je sais, mais tu viens encore de découvrir quelque chose. Tu sais maintenant que par derrière c’est bon.
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Grrrrrrr !
…………..
Pendant la suite du week-end, Jean a décidé de lever le pied dans ses « initiations à la vie » et dans la régression. Le soir même, ils font l’amour de façon conventionnelle, la couche prévue reste sur la table de nuit. Au petit matin, Lucie lui apporte son café après avoir enfilé une jolie chemise de nuit en satin. Le bébé redevenue femme, cherche simplement les tendres câlins du matin sous la couette.
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Je t’aime Daddy !
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Moi aussi princesse, on est trop bien ensemble.
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C’est vrai que tu comptes me faire l’amour par derrière ?
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Oui ma puce, non seulement tu vas adorer mais en plus, nous pourrons fusionner quand je jouis. Avec un peu de chance, nous jouirons peut-être ensemble.
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Ca fait mal ?
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Oui et non. Un peu la première fois, mais si tu m’écoutes et ne te rebelles pas, cela devrait super bien se passer. T’ais-je déjà mentie ?
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Non, mais des fois, tu me fais quand même des drôles de choses.
A suivre
Une initiation tout en douceur, un vrai délice. |
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